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Répression politique et violations dans le contexte électoral en Afrique

L’élection présidentielle kenyane a été marquée par la peur, les manœuvres d’intimidation et la violence. À la suite du scrutin, la police a eu recours à une force excessive contre des manifestants de l’opposition. Ces événements ont fait des dizaines de morts, dont au moins 33 personnes tuées par la police. Des cadres supérieurs du parti au pouvoir ont menacé à plusieurs reprises l’indépendance du système judiciaire après l’annulation par la Cour suprême des résultats de l’élection. Le Bureau de coordination des ONG a menacé de fermeture, entre autres mesures punitives, des organisations travaillant sur les droits humains et la gouvernance qui avaient critiqué le déroulement de l’élection. Lors de l’élection présidentielle rwandaise, qui s’est tenue en août, le président sortant Paul Kagame a remporté une victoire écrasante, après que la Constitution a été modifiée de manière à lui permettre de se présenter pour un troisième mandat. L’élection s’est déroulée dans un climat de peur engendré par 20 années d’attaques contre l’opposition politique, les médias indépendants et les défenseurs des droits humains. Des candidats potentiels à l’élection ont aussi été visés, notamment par des campagnes de diffamation. La période qui a précédé les élections d’août en Angola a été marquée par des atteintes aux droits fondamentaux : des journalistes et des défenseurs des droits humains ayant mis au jour des affaires de corruption et des violations des droits humains ont été victimes de manœuvres d’intimidation à maintes reprises. Des manifestants ont été arrêtés par la police, qui a eu recours à une force excessive. Au Burundi, la répression politique généralisée a pris la forme d’homicides illégaux, d’arrestations arbitraires et de disparitions forcées.

Arrêt à Monaco

Si on m’avait dit il y a quelques années que j’aimerais les voyages de groupe, je n’y aurais pas cru. Et pourtant ! La semaine dernière, j’en ai même fait un franchement exceptionnel à Monaco. J’essaierai de consacrer un billet sur ce périple la prochaine fois, mais je souhaiterais revenir ici sur le voyage de groupe en lui-même. J’en ai pas mal à mon crédit. Et s’il m’est arrivé au début d’avoir un peu de mal à me faire à la vie de groupe, j’ai appris avec le temps comment tirer parti des avantages et désavantages de ce type de voyage. S’il y a une chose à garder à l’esprit, c’est celle-ci : ce n’est pas parce qu’on voyage en groupe qu’on est asservi au groupe ; au contraire, il est nécessaire d’avoir chaque jour un peu de temps pour soi. Si l’on ne fait pas attention, on se laisse submerger par le groupe et ça devient vite horrible à vivre. Parce qu’au début, on est dans la phase de découverte. Du coup, rien ne nous ennuie, on est grisé de faire toutes ces visites ensemble, chacun faisant l’effort de se présenter au mieux. Mais cette euphorie des premiers jours s’émousse et le quotidien aidant, chacun finit par retrouver ses habitudes. Et ses petits défauts insupportables. Alors, pour éviter d’exploser, il est crucial de s’octroyer des instants de détente, loin de la foule : en s’accordant une promenade loin des autres. Même si ça ne dure pas longtemps, c’est toujours profitable. De même, il faut accepter que dans un groupe, on ne peut pas aimer tout le monde. Il faut accepter cette idée et ne pas se focaliser sur les personnes qui nous rebutent. Pour ma part, j’ai un vrai problème avec les kaliméros (vous savez, ceux qui aiment raconter leurs malheurs. Pour ma part, j’aurais tendance à dire : quand on est dépressif, on reste chez soi pour déprimer, merde). Si je suis trop longtemps en contact avec un tel caractère, j’ai envie de me taper la tête contre le mur. J’ai eu un peu de mal au début avec ce type de personne. Mais j’ai fini par admettre l’idée que dans n’importe quel groupe, il y a des individus comme ça. Le kaliméro en voyage, c’est un peu comme la tartine qui tombe systématiquement du côté confiture pour les autres participants. 🙂 En tout cas, si vous en avez un jour l’occasion, je vous recommande de faire ce voyage de groupe à Monaco. C’est une destination extraordinaire. Retrouvez toutes les infos sur cette expérience de voyage groupe à Monaco en suivant le lien.

On va rouler lentement

« Impopulaire mais nécessaire »: le gouvernement doit annoncer mardi l’abaissement de 90 km/h à 80 km/h de la limitation de vitesse sur les routes secondaires à double sens, une mesure contestée mais qu’il juge indispensable pour endiguer la hausse de la mortalité routière. « Si pour sauver des vies, il faut être impopulaire, j’accepte de l’être ». Le Premier ministre Edouard Philippe a préparé le terrain dimanche dans le JDD, à deux jours d’un Conseil interministériel de sécurité routière (CISR). Le gouvernement y entérinera un plan pour faire reculer le nombre de morts sur les routes, reparti à la hausse (3.477 tués en 2016) depuis le plus bas historique de 2013 (3.268). La France n’a plus connu de hausse aussi durable depuis 1972. Ce plan « vise à refaire de la sécurité routière un enjeu national de première importance », explique une source proche du dossier. Il prévoit notamment l’installation d’éthylotests antidémarrage (EAD) pour les personnes prises en alcoolémie délictuelle (supérieure à 0,8 g/l) et les récidivistes et sanctionnera plus durement l’usage du téléphone au volant tenu en main, qui pourra mener jusqu’à une suspension de permis s’il est combiné avec une autre infraction. Des passages piétons seront également sanctuarisés avec des sanctions plus lourdes pour les automobilistes qui ne les respectent pas. Une disposition capte toute l’attention: l’abaissement à 80 km/h de la vitesse maximale autorisée sur les routes à double sens sans séparateur central (terre-plein, glissière) au 1er juillet. Environ 400.000 kilomètres de routes sur le million du réseau français sont concernés. Les routes à double sens hors agglomération ont en 2016 concentré 55% des accidents mortels (1.911 tués). Une baisse de la vitesse sur ces axes permettrait de sauver « 350 à 400 vies » par an, estime le gouvernement. « Si chaque jour on sauve une vie, en baissant de 10 km/h la vitesse, en mettant 45 secondes de plus pour faire un trajet de 10 km, je serais assez fier d’être au côté d’Edouard Philippe », a affirmé mardi le délégué général de La République en Marche, Christophe Castaner, sur France 2. « Il faut des mesures fortes, courageuses et efficaces, et c’est une mesure efficace », a salué l’ancien Premier ministre Manuel Valls, aujourd’hui député apparenté LREM, sur Europe 1. Cette mesure est prônée depuis plusieurs années par des associations de sécurité routière qui y voient un levier essentiel pour réduire la mortalité. Impossible toutefois de prédire son impact précis. Une expérimentation a été menée entre juillet 2015 et juillet 2017 mais elle ne répond pas aux critères scientifiques nécessaires pour en tirer des conclusions définitives: elle a été menée sur seulement 86 kilomètres de voies et sur une période de deux ans (au lieu de cinq, durée minimale pour les études d’accidentologie). Les observations réalisées sur ces tronçons-tests montrent toutefois que la vitesse moyenne a baissé, les bouchons n’ont pas augmenté et l’accidentologie est en baisse. « La communication sera clé », admet-on à Matignon. « Il faudra une campagne de communication massive pour expliquer que ce petit effort individuel apportera un vrai gain collectif », confirme une autre source proche du dossier. Les associations d’automobilistes et de motards, elles, contestent son efficacité. « Il n’y a pas de raison de toucher à la vitesse, les véhicules s’améliorent, la qualité des routes aussi. Et il y a déjà des panneaux abaissant la vitesse à 70 km/h quand il y a un danger », peste le président de 40 millions d’automobilistes, Daniel Qero, qui dénonce « une mesure répressive de plus ».

L’avènement de la réalité virtuelle en aviation

Il y a peu, j’ai expérimenté un simulateur de vol à Rennes, et j’ai été carrément épaté par le côté immersif de la chose : c’était assez ahurissant ! C’était une première en ce qui me concerne, et je vous garantis que je me suis pris une claque : la technologie a franchement avancé à pas de géant, ces dernières années. Et en plus, ce n’est qu’un début. Avec la VR qui s’ancre peu à peu dans notre quotidien, nous allons passer de plus en plus de temps dans tous ces mondes virtuels. C’est la prochaine grande évolution qui nous attend, je crois : la virtualisation de nos relations. Jusqu’ici, nous communiquions avec les internautes à l’aide d’un clavier, nos échanges étaient globalement du texte. Mais avec la réalité virtuelle, tout ça va changer : nous allons pouvoir communiquer dans des lieux virtuels. Facebook va devenir un lieu de rencontre. Second life était en avance sur son temps, mais il lui manquait encore le côté immersif de l’expérience. Avec les casques d’aujourd’hui, cependant, tout est prêt pour bâtir des espaces virtuels collectifs où nous passerons vraisemblablement un temps considérable. Le public ne se rend pas encore compte. Certains sont même convaincus que la VR sera un vrai fiasco ! Mais je suis persuadé qu’ils se trompent sur toute la ligne. Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais il y a toujours un mec pour affirmer que ça ne va pas marcher. Certains affirmaient que les DVD ne remplaceraient pas les VHS ! Une simple recherche dans l’actualité suffit pour le voir : la VR est déjà partout. Elle est au coeur de la conception automobile, Disney ouvre des attractions Star Wars dédiées, Club Med l’utilise pour plonger ses clients au coeur de ses villages… Elle est même utilisée à la place de l’habituel anesthésiant dans certains hôpitaux ! Et ce ne sont là que quelques exemples parmi tant d’autres. Je gage que notre vie sera bien différente, d’ici peu de temps… Soit dit en passant, si vous aimez les expériences originales, vous devriez essayer ce simulateur de vol à Rennes. Je vous mets en lien le site par lequel je suis passé. Davantage d’information sur ce simulateur de vol en suivant le lien.

J’adore la Série 6

L’Europe n’est plus le centre de gravité des berlines de luxe allemandes. Les limousines made in Germany regardent désormais vers les Etats-Unis et, surtout, la Chine où se trouve l’essentiel de leurs acheteurs. Pour plaire, il leur faut donc s’adapter aux codes locaux. Adopter un style consensuel, s’étirer en longueur, ne pas lésiner sur les inserts de chrome, offrir un maximum d’espace et de confort aux places arrière, prévoir un très grand coffre ou encore privilégier la souplesse des suspensions. La BMW Série 6 Gran Turismo se plie avec zèle à cet exercice. Légèrement surélevé, long (5,09 m) et massif, ce modèle très élitiste dont les tarifs débutent à 63 900 euros, se présente comme une alternative à la Série 7 qui continue de se poser comme le navire amiral de la firme. Les virages serrés des petites routes ne sont pas sa tasse de thé. Cette voiture, d’un tempérament bien moins latin que sa dénomination pourrait le laisser penser, s’adresse tout particulièrement à une clientèle américaine et asiatique ; hormis en Allemagne, sa diffusion sur le Vieux Continent n’atteindra pas de volumes élevés. Elle convoite des acheteurs plutôt âgés, lassés des références classiques mais point disposés à opter pour un SUV. La Série 6 GT doit tout à la fois évoquer la fluidité d’un coupé et proposer un coffre capable d’embarquer plusieurs sacs de golf (unité de mesure généralement utilisée pour ce genre d’automobile), incarner l’académisme d’une berline de classe et installer ses occupants en position légèrement surélevée. Ces injonctions paradoxales ont engendré un profil à la fois ventru et dynamique, un peu déroutant. Autrement plus convaincant, en tout cas, que la pachydermique Série 5 GT, apparue en 2009, que la nouvelle venue fera vite oublier. Perchée plus haut, la Série 6 GT a consenti de louables efforts pour s’alléger mais son poids flirte quand même avec les 2 tonnes. Les virages serrés des petites routes ne sont donc pas sa tasse de thé mais, sur autoroute, dans les encombrements, voire pour se garer, il est possible de s’en remettre à diverses assistances à la conduite. Le choix des motorisations (des quatre ou six-cylindres développant de 258 à 340 ch) est large mais, pour ce qui concerne la France, le diesel représentera la très grande majorité des ventes compte tenu, notamment, des malus imposés aux versions essence (de 613 à 9 050 euros, pour 2017). BMW n’a pas prévu de doter ce modèle d’une motorisation hybride-rechargeable, signe que cette technologie est difficile à rentabiliser, pour un constructeur comme pour le consommateur. Plus versée dans le tourisme que dans le « Gran Turismo » cher aux gentleman-drivers des années 1960, la Série 6 GT privilégie ouvertement le bien-être de ses occupants, une philosophie en phase avec la culture automobile américaine et chinoise. Il s’en dégage un confort ouaté de Pullman, assuré par une suspension pneumatique à l’arrière (et à l’avant, en option). Passons sur l’insonorisation impeccable qui laisse néanmoins filtrer dans l’habitacle le beau bruit des moteurs BMW dont l’acoustique a, comme d’habitude, été soignée. Impossible, en revanche, pour les motoristes bavarois de rendre suave la mélopée d’un diesel au ralenti. Rivale de l’Audi A7 et de la Mercedes CLS, la Série 6 Gran Turismo s’intègre dans une gamme BMW devenue pléthorique au fil des ans. Comme ses alter ego allemands, la firme a développé un catalogue qui compte beaucoup plus de modèles que ceux des marques généralistes comme Volkswagen, Peugeot ou Renault. Un quadrillage animé par la volonté d’occuper la moindre niche de marché pour ne rien céder à la concurrence. De février 2017 à février 2019, le constructeur prévoit de réaliser quarante lancements, entre simples restylages, vrais renouvellements, versions « électrifiées » et modèles inédits. Au risque de désorienter son aimable clientèle ? Sans doute. Chez BMW, on estime que l’élargissement de la gamme arrivera bientôt à son terme.

Le modèle médico-économique particulier des antibiotiques est insuffisamment attractif

Depuis une trentaine d’années, seules deux nouvelles molécules ou stratégies thérapeutiques ont été développées en antibiothérapie. Le manque d’innovation réside essentiellement dans la faible rentabilité du modèle économique des antibiotiques par rapport aux autres domaines thérapeutiques. En effet, les antibiotiques sont des médicaments avec un prix peu élevé, et dont l’utilisation est limitée dans le temps. Pourtant, le développement de nouvelles molécules est très onéreux, en raison du défi technique et technologique posé par l’antibiorésistance. Par ailleurs, les industriels sont confrontés à un paradigme peu incitatif : il leur est demandé de développer de nouveaux antibiotiques innovants, qui devront pourtant être utilisés le moins possible. En effet, pour préserver l’efficacité de ces nouvelles molécules de dernier recours, celles-ci devront être distribuées avec parcimonie, et uniquement à l’hôpital. Cette situation de tension est renforcée par un environnement réglementaire et économique qui n’incite pas à innover. L’existence d’un cadre juridique restrictif limite l’accès des patients à certains produits innovants qui n’entrent pas dans les lignes réglementaires. A contrario, l’absence de définition claire empêche l’évaluation de nouvelles technologies alternatives aux antibiotiques. Enfin, malgré les efforts de recherche et de développement susceptibles d’être menés dans les prochaines années, la spécificité écologique des antibiotiques reste insuffisamment prise en compte. Le domaine bactérien se caractérise par un lien fort entre la santé humaine, animale et environnementale. Les nombreuses interactions entre ces différents agents favorisent l’émergence de résistance, ce qui implique une recherche et un développement constant de nouvelles approches thérapeutiques.

Les bienfaits des arômes doux

Dans une société remplie de longues listes de choses à faire et de délais serrés, le stress peut facilement devenir accablant. Les effets secondaires du stress sont dangereux et trop fréquents de nos jours et de nos jours. Heureusement, il existe un moyen d’apaiser le stress en utilisant la pratique de l’aromathérapie fatigué et vrai. L’aromathérapie est le processus d’utilisation des huiles essentielles qui ont été extraites de plantes pour aider à la fois la guérison physiologique et psychologique. Les lumières d’arome sont des brûleurs d’huile électriques qui diffusent le parfum des huiles essentielles et créent une ambiance invitante à n’importe quelle maison ou bureau. Les lumières d’arôme exquisément faites non seulement font le cadeau parfait de vacances, elles fournissent également un éventail d’avantages pour la santé. Avantages de santé et de bien-être des lumières d’arome Les lumières aromatiques et les huiles essentielles ont le pouvoir d’éradiquer les bactéries aéroportées et d’augmenter les niveaux d’oxygène dans l’air. Ils peuvent également aider à stimuler le système immunitaire et soulager les maux de tête de tension. Le système limbique du cerveau est directement lié à l’inhalation des odeurs. Ainsi, lorsqu’une huile essentielle est inhalée, de nombreux effets secondaires positifs en résultent. La tension allégée, le stress et même la dépression sont tous fonction de la réponse que le système nerveux central subit lorsqu’une huile essentielle est inhalée. Parce que le système nerveux central du cerveau est la zone du cerveau directement liée aux réactions émotionnelles, les parfums aromatiques ont le pouvoir de soulager la colère, d’améliorer le sommeil et de stimuler la mémoire. Non seulement les lampes à arômes offrent un éventail de bienfaits pour la santé, mais elles créent également une ambiance accueillante pour tout foyer, bureau ou établissement d’entreprise. Les huiles essentielles ont le pouvoir de donner le ton à toute la pièce, créant ainsi une atmosphère apaisante et relaxante ou énergisante et revigorante. Quel que soit l’environnement désiré, les parfums aromatiques sont sûrs de laisser une impression positive et durable. L’humeur améliorée est l’un des résultats les plus puissants d’être dans une pièce qui diffuse des huiles essentielles. La gamme des avantages de santé et de bien-être fournis par les lumières d’arome, en même temps que les conceptions complexes font aux lumières d’arome la lampe décorative parfaite pour chaque pièce. Les lumières d’arome viennent dans une variété de couleurs, de formes, et de tailles qui fournissent une touche unique et délicate d’élégance pour assortir n’importe quelle pièce ou bureau. En outre, ils sont plus efficaces que les bougies pour éliminer les odeurs et ils ne nécessitent pas de flamme nue. Ainsi, ils sont plus sûrs et procurent une tranquillité d’esprit à l’utilisateur et peuvent même être laissés allumés toute la journée. Les lumières d’arome fournissent le cadeau inestimable de relaxation Personne ne désire être accablé par le stress et l’anxiété, mais il n’est pas rare que les horaires chargés et les demandes de la vie aient cet effet. La société dépense des millions de dollars chaque année en médicaments anti-stress, mais il existe des moyens plus économiques et naturels d’atténuer le stress. L’aromathérapie a la capacité incroyable de calmer les tensions chez les personnes de tous les âges et de toutes les situations. Les lumières d’arome sont de belles lampes décoratives conçues pour diffuser les huiles essentielles de guérison dans l’air. Une lampe aromatique peut être appréciée à la maison, dans un bureau (où la tension est commune), ou comme un parfum accueillant pour les clients dans un établissement d’affaires. Les lampes aromatiques peuvent également donner le ton aux fêtes de fin d’année et créer une ambiance mémorable. Donner le cadeau des lumières d’arome est incroyablement unique et réfléchi parce qu’elles fournissent des recettes un moyen puissant et normal de relaxation, ou selon l’odeur, l’énergie et l’invigoration. La vaste gamme de styles et de senteurs fait des lampes à arômes électriques un cadeau vraiment personnalisable. Les lumières d’arôme sont le moyen idéal pour montrer à la famille, aux amis, aux collègues et aux clients combien ils sont appréciés. Les propriétés thérapeutiques multiples fournies par les lampes à arôme n’ont jamais été aussi abordables ou accessibles. La popularité croissante de l’aromathérapie est sûr de faire des lumières d’arôme un article chaud cadeau cette saison des fêtes. Je vous laisse le lien vers le site spécialiste de cette session pour créer son parfum à Paris.

En voiture…

Sur les automobiles, un phénomène physique se passe : l’énergie cinétique. C’est la puissance du véhicule lorsqu’elle est en évolution. Afin de procurer cette puissance au véhicule, un peu d’essence doit être consommée. Alors que l’on freine, cette force est transformée en chaleur, c’est-à-dire complètement et fondamentalement renvoyée dans l’air. Donc il importe de réduire au maximum les coups de freins, et de choisir de rétrograder. En plus de ralentir l’automobile, le rétrogradage modifie la puissance cinétique en puissance pour la batterie. Une autre chose qu’il est ainsi habile de connaitre, est qu’un pilotage dynamique conduit à une hausse de la consommation de trente cinq pour cent. Aussi, il faut de piloter de allure léger et lisse, ainsi en prévoyant au maximum les coups de freins, ainsi qu’en évitant les accélérations de folie et surtout inutiles. Il est important également de maximiser sa vitesse. Une vitesse déraisonnable procure une hausse de la consommation importante. grande route, en plus d’accroître considérablement la sécurité, l’unique fait de conduire à 110 au lieu de centre trente kilomètres heures permet une économie à peu près de 20 pour cent. Beaucoup de voitures sont optimisés pour avancer à des régimes moyens, correspondant plutôt à des vitesses presque de 110km/h. Sur départementale, rouler à quatre vingt kilomètre heures produit une chute de consommation d’environ dix pour cent. Les pneus ont de même un rôle décisif. Le premier effet d’un pneu mal gonflé est d’abord le danger. A noter qu’ un pneu sous gonflé risque de surchauffer, pouvant provoquer jusqu’à l’éclatement. La conduite est tout autant affectée. La deuxième résultante est la croissance de la consommation de pétrole. Peu le l’expérimentent, mais un pneumatique est fondamentalement poreux. Le pneu perd en conséquences et logiquement de la pression. Ce fait est renforcée si vous n’avez pas de bouchons incrusté. En conséquences, il est requis de vérifier une fois par semestre cette pression pneumatique. La valeur recommandée par le constructeur de l’automobile est très souvent montrée sur un objet, mis sur l’intérieur de la portière de l’automobile. Il est également intéressant de recommaner le régulateur. Il est installé sur de plus en plus de automobiles neuves. Le régulateur de vitesse permet de maintenir votre permis de conduire, et le régulateur peut vous accompagner à optimiser le fonctionnement de votre voiture. Pour en savoir plus, allez sur le site spécialiste des plus belles voitures du monde.

La couverture forestière

Les forêts tiennent une place primordiale dans le fonctionnement de la Terre : elles renferment des quantités élevées de carbone et libèrent de l’oxygène ; elles influencent les précipitations, filtrent l’eau douce et préviennent les inondations et l’érosion des sols ; elles produisent des aliments de cueillette, le bois-énergie et les médicaments consommés par les individus vivant en leur sein et à leurs abords ; elles sont les magasins des futures variétés de cultures et des matériels génétiques aux propriétés thérapeutiques encore inexplorées. Quant au bois et aux autres fibres issus de la forêt, elles servent tour à tour de combustible renouvelable et de matière première entrant dans la fabrication du papier, des emballages, des meubles et des habitations. Si les pressions sur les forêts varient d’une région à l’autre, la première cause de déforestation est l’expansion de l’agriculture, en partie portée par l’élevage industriel et les cultures dominantes que sont par exemple l’huile de palme et le soja (Gibbs et coll., 2010 ; Hosonuma et coll., 2012 ; Kissinger et coll., 2012). En dehors des petits agriculteurs, que la pauvreté et l’insécurité foncière amènent à jouer eux aussi un rôle négatif, l’extraction minière, l’hydroélectricité et les autres projets d’infrastructures exercent également de lourdes pressions, dans la mesure où la construction d’une nouvelle route, en ouvrant les forêts aux colons et à l’agriculture, induit des effets indirects parfois profonds. Non loin de la déforestation, la dégradation des forêts est une grande menace. Parmi les facteurs déterminants de cet impact dans les forêts tropicales, on peut citer l’exploitation forestière insoutenable, la collecte de bois de chauffage et les incendies incontrôlés (Kissinger et coll., 2012). La dégradation épuise, d’un côté, les capacités reproductives et la fourniture de services écosystémiques des forêts sur pied, de l’autre, elle constitue aussi une source directe d’émissions de gaz à effet de serre et apparaît dans certains cas comme un catalyseur de déforestation. L’évolution des ressources des forêts du monde indique que le taux de déforestation net mondial a considérablement ralenti au cours des 25 dernières années (Département des forêts de la FAO, 2015). Ses dernières données montrent qu’en valeur nette, 129 millions d’hectares de forêts, soit une superficie supérieure à celle de l’Afrique du Sud, ont été perdus depuis 1990. Pour autant, ce chiffre net masque l’évolution des forêts naturelles par rapport aux forêts plantées : en effet, pendant cette période, ce sont en tout 239 millions d’hectares de forêts naturelles qui se sont volatilisés en termes bruts. Certes, les forêts plantées, dont la proportion est passée dans le même temps de 4 à 7% à la surface du globe, sont d’une importance non négligeable dans la fourniture de bois d’œuvre, la production d’autres ressources et le développement économique, mais leurs homologues naturelles sont souvent plus précieuses pour les services écosystémiques qu’elles rendent : en particulier, l’existence d’habitats de meilleure qualité offrant à la fois une plus grande diversité d’espèces et des capacités de stockage du carbone et de régénération vraisemblablement supérieures en rend la disparition particulièrement préoccupante (Gamfeldt et coll., 2013). Au-delà de la quantité des forêts, il est donc fondamental de pouvoir en suivre la qualité au niveau mondial.

Tirer le meilleur partie de l’éducation

L’enseignement joue de plus en plus un rôle clé dans la réussite des personnes et des nations, et ce, en raison de l’évolution de la situation économique et sociale. Ce poste représente d’ailleurs une part considérable des dépenses dans tous les pays. Toute la diffi culté pour les gouvernements est de faire en sorte que les possibilités de formation proposées répondent aux besoins d’une société fondée sur le savoir en constante mutation. L’OCDE aide les pays membres à assurer une formation de qualité pour tous qui contribue à l’épanouissement personnel, à une croissance économique durable et à la cohésion sociale. En 2004, les ministres de l’Éducation des pays de l’OCDE se sont réunis à Dublin afi n de débattre des moyens à mettre en oeuvre pour améliorer la qualité et l’équité de leurs systèmes éducatifs. Les gouvernements doivent être informés pour pouvoir prendre les décisions concernant leurs systèmes éducatifs. L’édition annuelle de Regards sur l’éducation offre les éléments statistiques permettant aux pays les plus avancés de débattre des politiques et de prendre des décisions. Le rapport de 2004 souligne les facteurs qui infl uent sur l’offre future de personnel qualifi é et sur la corrélation entre le niveau de formation, l’emploi et la rémunération. En outre, l’édition 2004 examine pour la première fois comment la répartition des pouvoirs de décision entre les établissements scolaires d’une part et les autorités locales, régionales et nationales d’autre part, a évolué face aux exigences, à savoir, une plus grande effi cacité et adaptation aux besoins des populations locales, l’innovation et l’amélioration du niveau de qualité. Le Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA) procède régulièrement à une évaluation des acquis des jeunes de 15 ans dans les pays de l’OCDE. En 2004, Apprendre aujourd’hui, réussir demain diffusait les tout derniers résultats des performances en compréhension de l’écrit, en mathématiques et en sciences (voir encadré p. 41). Lors de leur réunion à Dublin en mars 2004, les ministres de l’Éducation des pays de l’OCDE ont porté leur attention sur les politiques visant à améliorer le niveau de performances des élèves et sur les questions d’équité en s’appuyant sur les derniers résultats du PISA.