Monthly Archives: octobre 2017

En voiture…

Sur les automobiles, un phénomène physique se passe : l’énergie cinétique. C’est la puissance du véhicule lorsqu’elle est en évolution. Afin de procurer cette puissance au véhicule, un peu d’essence doit être consommée. Alors que l’on freine, cette force est transformée en chaleur, c’est-à-dire complètement et fondamentalement renvoyée dans l’air. Donc il importe de réduire au maximum les coups de freins, et de choisir de rétrograder. En plus de ralentir l’automobile, le rétrogradage modifie la puissance cinétique en puissance pour la batterie. Une autre chose qu’il est ainsi habile de connaitre, est qu’un pilotage dynamique conduit à une hausse de la consommation de trente cinq pour cent. Aussi, il faut de piloter de allure léger et lisse, ainsi en prévoyant au maximum les coups de freins, ainsi qu’en évitant les accélérations de folie et surtout inutiles. Il est important également de maximiser sa vitesse. Une vitesse déraisonnable procure une hausse de la consommation importante. grande route, en plus d’accroître considérablement la sécurité, l’unique fait de conduire à 110 au lieu de centre trente kilomètres heures permet une économie à peu près de 20 pour cent. Beaucoup de voitures sont optimisés pour avancer à des régimes moyens, correspondant plutôt à des vitesses presque de 110km/h. Sur départementale, rouler à quatre vingt kilomètre heures produit une chute de consommation d’environ dix pour cent. Les pneus ont de même un rôle décisif. Le premier effet d’un pneu mal gonflé est d’abord le danger. A noter qu’ un pneu sous gonflé risque de surchauffer, pouvant provoquer jusqu’à l’éclatement. La conduite est tout autant affectée. La deuxième résultante est la croissance de la consommation de pétrole. Peu le l’expérimentent, mais un pneumatique est fondamentalement poreux. Le pneu perd en conséquences et logiquement de la pression. Ce fait est renforcée si vous n’avez pas de bouchons incrusté. En conséquences, il est requis de vérifier une fois par semestre cette pression pneumatique. La valeur recommandée par le constructeur de l’automobile est très souvent montrée sur un objet, mis sur l’intérieur de la portière de l’automobile. Il est également intéressant de recommaner le régulateur. Il est installé sur de plus en plus de automobiles neuves. Le régulateur de vitesse permet de maintenir votre permis de conduire, et le régulateur peut vous accompagner à optimiser le fonctionnement de votre voiture. Pour en savoir plus, allez sur le site spécialiste des plus belles voitures du monde.

La couverture forestière

Les forêts tiennent une place primordiale dans le fonctionnement de la Terre : elles renferment des quantités élevées de carbone et libèrent de l’oxygène ; elles influencent les précipitations, filtrent l’eau douce et préviennent les inondations et l’érosion des sols ; elles produisent des aliments de cueillette, le bois-énergie et les médicaments consommés par les individus vivant en leur sein et à leurs abords ; elles sont les magasins des futures variétés de cultures et des matériels génétiques aux propriétés thérapeutiques encore inexplorées. Quant au bois et aux autres fibres issus de la forêt, elles servent tour à tour de combustible renouvelable et de matière première entrant dans la fabrication du papier, des emballages, des meubles et des habitations. Si les pressions sur les forêts varient d’une région à l’autre, la première cause de déforestation est l’expansion de l’agriculture, en partie portée par l’élevage industriel et les cultures dominantes que sont par exemple l’huile de palme et le soja (Gibbs et coll., 2010 ; Hosonuma et coll., 2012 ; Kissinger et coll., 2012). En dehors des petits agriculteurs, que la pauvreté et l’insécurité foncière amènent à jouer eux aussi un rôle négatif, l’extraction minière, l’hydroélectricité et les autres projets d’infrastructures exercent également de lourdes pressions, dans la mesure où la construction d’une nouvelle route, en ouvrant les forêts aux colons et à l’agriculture, induit des effets indirects parfois profonds. Non loin de la déforestation, la dégradation des forêts est une grande menace. Parmi les facteurs déterminants de cet impact dans les forêts tropicales, on peut citer l’exploitation forestière insoutenable, la collecte de bois de chauffage et les incendies incontrôlés (Kissinger et coll., 2012). La dégradation épuise, d’un côté, les capacités reproductives et la fourniture de services écosystémiques des forêts sur pied, de l’autre, elle constitue aussi une source directe d’émissions de gaz à effet de serre et apparaît dans certains cas comme un catalyseur de déforestation. L’évolution des ressources des forêts du monde indique que le taux de déforestation net mondial a considérablement ralenti au cours des 25 dernières années (Département des forêts de la FAO, 2015). Ses dernières données montrent qu’en valeur nette, 129 millions d’hectares de forêts, soit une superficie supérieure à celle de l’Afrique du Sud, ont été perdus depuis 1990. Pour autant, ce chiffre net masque l’évolution des forêts naturelles par rapport aux forêts plantées : en effet, pendant cette période, ce sont en tout 239 millions d’hectares de forêts naturelles qui se sont volatilisés en termes bruts. Certes, les forêts plantées, dont la proportion est passée dans le même temps de 4 à 7% à la surface du globe, sont d’une importance non négligeable dans la fourniture de bois d’œuvre, la production d’autres ressources et le développement économique, mais leurs homologues naturelles sont souvent plus précieuses pour les services écosystémiques qu’elles rendent : en particulier, l’existence d’habitats de meilleure qualité offrant à la fois une plus grande diversité d’espèces et des capacités de stockage du carbone et de régénération vraisemblablement supérieures en rend la disparition particulièrement préoccupante (Gamfeldt et coll., 2013). Au-delà de la quantité des forêts, il est donc fondamental de pouvoir en suivre la qualité au niveau mondial.